Rentrée académ. du Séminaire

Rentrée académ. du Séminaire

La rentrée des étudiants un peu particuliers… les séminaristes

Nous reprenons ici l’article écrit par Anne-Françoise de Beaudrap pour CathoBel.

Ce lundi 11 septembre, le grand séminaire francophone de Belgique marquait sa rentrée académique. Le recteur l’abbé Joël Spronck soulignait dans son discours « la joie de se rencontrer » à nouveau pour ce début d’année.

Huit nouveaux prêtres ordonnés en début d’été, dix-sept séminaristes diocésains et onze séminaristes du Chemin néo-catéchuménal… L’abbé Joël Spronck évoque dans son discours d’ouverture ces sources de joie que les chiffres peuvent représenter. Sans oublier les « religieux, ainsi que, bien entendu, quelques dizaines d’étudiants de l’IDF, qui suivent des cours à Namur (mais aussi à Libramont et à Rochefort). À l’heure de la synodalité, cette variété de vocations, d’états de vie, de missions est une vraie richesse, tant elle reflète l’unité dans la diversité caractéristique du Peuple de Dieu. »

En cette rentrée 2023 au Séminaire, une pensée particulière pour le nouvel archevêque

« La nouvelle année académique nous donne une fois encore la joie de nous rencontrer », commence l’abbé Joël Spronck. Il s’adresse d’abord à Mgr Harpigny qui fêtait ce jour-là les 20 ans de son ordination épiscopale. Puis aux évêques absents, parmi lesquels Mgr Warin parti à Lourdes. Le recteur poursuit en excusant, et en félicitant dans le même temps, Mgr Luc Terlinden qui était retenu par d’autres engagements. Le nouvel archevêque a joué un rôle important comme professeur, puis comme président du séminaire de Malines-Bruxelles.

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Le recteur actuel du séminaire interdiocésain francophone a ensuite développé une catéchèse insistant sur le lien entre étude et prière. « Je voudrais mettre l’accent sur le lien fort qui doit exister entre l’étude (tant de la philosophie que de la théologie) et la prière, autrement dit, entre le travail intellectuel et la vie spirituelle. » Avant de conclure par une prière de Saint Thomas d’Aquin, l’abbé Joël Spronck ajoutait : « Il est important de se laisser sans cesse interpeller, car Dieu nous parle à travers les ‘signes des temps’. »

AF de B.