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Introduction à l’Ancien Testament
Les samedis 5,12 oct. ; 30 nov. ; 7 déc. (9h30-11h30 ; 14h-16h) – Ave-et-Auffe
D. Luciani [2 ECTS] CDER 1100

Le cours d’Introduction à l’Ancien Testament comportera trois parties : 1) fourniture de quelques outils pour pouvoir « ouvrir » le livre ; 2) présentation des grands ensembles qui constituent ce corpus ; 3) lecture attentive de quelques textes particuliers. La pondération entre ces trois parties se fera en fonction des connaissances préalables des étudiants et de leurs intérêts, le principal restant la fréquentation directe avec le texte biblique.

Introduction à l’Ancien Testament
Les samedis 5,12,19 oct. ; 16,30 nov. (14h-18h) – Libramont
S. Théate [3 ECTS] CDER 1100

Ce cours propose une présentation suggestive des différents livres constituant l’Ancien Testament (AT) ainsi qu’une évocation précise de son cadre contextuel (dans ses dimensions historique, géographique, littéraire, théologique et culturelle). Une section du cours est centrée sur l’univers de l’AT afin de faire connaissance avec les civilisations de l’Orient ancien et avec les grands moments qui ont marqué l’histoire de l’Israël/ Palestine. Une autre section permet un premier regard sur la Bible (le terme, l’inspiration, une bibliothèque, les canons, les langues, les genres littéraires, des méthodes de lecture) ainsi qu’une présentation globale de l’ensemble des livres de l’AT (leur trame et quelques clés de lecture). Des lectures de textes agrémenteront cette introduction.

Introduction à l’Ancien Testament
Les mercredis du semestre 2 (14h-15h45) – Namur
S. Théate [3 ETCS] CDER 1100

Ce cours propose une évocation précise du cadre contextuel (dans ses dimensions historique, géographique, littéraire, théologique et culturelle…) ainsi qu’une présentation suggestive des différents livres constituant l’A.T. Une section du cours sera centrée sur l’univers de l’Ancien Testament qui permettra à l’étudiant(e) de faire connaissance avec les civilisations de l’Orient ancien et avec les grands moments qui ont marqué l’histoire d’Israël/Palestine. Une autre section permettra un premier regard sur la Bible (le terme, l’inspiration, une bibliothèque, les canons, les langues, les genres littéraires, les méthodes de lecture) ainsi qu’une présentation globale de l’ensemble des livres de l’A.T. : le contenu de la trame de ceux-ci avec la fourniture de quelques clés de lecture.

Introduction à saint Paul
Les mercredis 11,18,25 sept. ; 2,9,16 oct. ; 6,13,20 nov. (14h-15h45) – Namur
J. Rochette [2 ECTS] CDER 1100

Aventurier de Dieu, homme de feu, Juif pharisien et citoyen romain, véritable fondateur du christianisme, homme d’exception, monument dogmatique ? On ne sait comment cerner la personnalité et l’œuvre de celui dont s. Jean Chrysostome disait : « Qu’est-ce donc que l’homme, jusqu’où va la noblesse de notre nature, et de quelle vertu est capable cet être vivant, Paul l’a montré plus que tout autre » (Panégyriques de s. Paul, II,1). La connaissance de la nature humaine et la grâce de l’amour pour le Christ traversent la vie de l’homme Paul de Tarse et l’œuvre littéraire du premier rédacteur du Nouveau Testament. Ces deux directions structureront le cours qui permettra à chacun de : 1/ situer les faits importants qui ont marqué la vie de Paul et d’appréhender son art rhétorique comme clés de compréhension de ses écrits ; 2/ de situer chronologiquement et dans leur contexte socio-culturel les différentes épîtres en distinguant les authentiques ; 3/ d’indiquer les problématiques qu’elles mettent en avant.

Introduction aux Psaumes
Les mercredis 2,9 avril ; 7,14 mai (14h-15h45) – Namur
S. Naveau [1 ECTS] CDER 1100

Le cours est d’abord constitué d’une introduction générale au Livre des Psaumes (histoire de la composition, structure, procédés stylistiques, genres littéraires) ; ensuite de sa réception, de son impact théologique, liturgique et existentiel : prière, insertion dans l’histoire d’Israël et dans l’histoire du Salut, rapport de l’homme à Dieu, violence et invectives… Le cours est émaillé de nombreux exemples tirés de l’ensemble du Livre.
Prérequis : le cours d’Introduction à l’Ancien Testament doit avoir été validé.

Découverte des religions non-chrétiennes
Les mercredis 2,9,16 oct. ; 6,13 nov. (14h-17h) – Bastogne
P. Moline [2 ECTS] CDER 1200

À l’heure de la mondialisation, dans une société plurielle, ce cours offre les clés indispensables pour comprendre les religions non chrétiennes et pour entrer, avec rigueur et bienveillance, dans un dialogue interreligieux. Nous découvrirons tout d’abord l’hindouisme, puis le bouddhisme. L’Occident n’est-il pas fasciné par l’Orient ? Via les routes de la Soie, nous trouverons le confucianisme et le taoïsme, en Chine, et, au-delà, au Japon, le shintoïsme. Nous visiterons ensuite les religions dites abrahamiques, judaïsme et islam. Nous ferons aussi des parallèles avec le christianisme : ressemblances et dissemblances nous permettront de mieux saisir l’originalité de notre propre foi.

Mystère de Dieu et Art
Les mercredis 9,16,23,30 avril ; 7,14,21,28 mai (14h-17h) – Bastogne
P. Verbeeren [3 ECTS] CDER 1200

Si le christianisme est bien une religion de l’Incarnation du divin, sa production artistique doit immanquablement nous ouvrir des portes sur ce qu’il met derrière le mot « Dieu », sur les grandes intuitions des spirituels, des artistes, des théologiens, des pasteurs concernant l’inouï du Dieu de Jésus et la relation dans laquelle il nous invite à entrer. À partir de la Révélation chrétienne, des pratiques liturgiques, de l’étude des controverses christologiques et trinitaires et de leurs échos dans l’histoire des représentations du divin, le cours proposera un parcours théologique imagé et coloré traduisant ce déploiement de l’amour divin au sein de notre actualité. Comme les Psaumes qui envisagent tant l’absence de Dieu que son omniprésence, l’art n’est pas en reste de nous provoquer à traverser avec vigueur notre rapport au sens. (Évaluation : 4 ou 11 juin après-midi, au choix)

Christologie
1,22 fév. ; 8,15,29 mars ; 5 avril ; 10,24 mai (09h30-11h30) – Ave-et-Auffe
 P. Goffinet [2 ECTS] CDER 1200

Spontanément, les chrétiens parlent de Jésus-Christ, en mettant un trait d’union entre les deux termes. Ce qui est déjà une profession de foi et tout l’enjeu de ce qu’on appelle la christologie. La question qui servira de fil rouge à ce cours est celle-là même que Jésus a posée un jour à ses disciples : Pour vous, qui suis-je ? Ou comment penser le lien entre Jésus de Nazareth (niveau de l’histoire) et Christ (niveau de la foi)? Pour répondre à cette question, il nous faut d’abord rassembler tout ce que l’on peut savoir sur Jésus du point de vue historique et découvrir ensuite, dans les lettres de Paul, les Évangiles et les Actes des Apôtres, les premières ébauches d’une christologie. Si, à l’origine, le christianisme s’est inscrit dans le monde juif, il s’inculturera très rapidement dans le monde gréco-romain au point de devenir en 380, religion d’Empire. Des conflits théologiques vont apparaître, qui touchent le cœur de la foi chrétienne et notamment la manière de comprendre le salut, le Dieu trinitaire et les deux natures du Christ (et leur union). Nous examinerons cette période en étudiant plus particulièrement les premiers conciles : Nicée (325), Constantinople (381), Ephèse (431) et Chalcédoine (451). Nous découvrirons alors que les dogmes ont une histoire inachevée. (Évaluation : 31/05)

Pour quoi l’Église ?
Samedis 22 fév. ; 15,29 mars ; 5 avril ; 10,24 mai (9h30-12h30) – Namur
É. Di Pietro [2 ECTS] CDER 1200

Ce parcours voudrait introduire au mystère de l’Église : à quoi sert l’Église ? Croire en Jésus, n’est-ce pas suffisant ? Et au fond, l’Église, c’est qui ? Partant des Écritures et du concile Vatican II, nous voudrions (re)découvrir la richesse de notre Église dans toutes ses dimensions : l’Église comme mystère, le peuple de Dieu, le Corps du Christ, le Temple de l’Esprit, le sacrement de salut, l’Église servante et pauvre, l’Église-Mère, l’Église dans le monde, la sainte Église des pécheurs, l’Église diocésaine, la vocation baptismale et les vocations particulières, l’autorité dans l’Église et la liberté dans le Christ. (Évaluation : 07/06 matin).

Questions de morale spéciale
Les samedis 11,18 janv. (9h30-11h30 ; 14h-16h) – Ave-et-Auffe
J.-P. Bakadi [2 ECTS]

Ce cours indique la place importante de la parole que l’Église propose à notre société sur la question sociale dans son ensemble. Il examine dans quelle mesure ce discours se fonde sur les Saintes Écritures et la Tradition pour donner des réponses aux questions sociales de notre temps. Dans notre monde en quête de sens, l’Église suggère ainsi une perspective prophétique à même d’aider les femmes et les hommes d’aujourd’hui à adopter un agir responsable. Ce cours permettra de saisir la pertinence de l’enseignement morale de l’Église dans la société et ses conséquences au niveau familial, politique et économique.

Morale fondamentale
Les samedis 5,12,19 oct. (10h-13h) – Libramont
M. Vincent [1 ECTS]

Le cours abordera les sources de la morale chrétienne à partir de la Bible et de la tradition chrétienne ainsi que quelques questions actuelles à la lumière de l’anthropologie chrétienne et des questionnements contemporains.

Bioéthique
Les lundis 16,23,30 sept. ; 7,14 oct. ; 4,18,25 nov. ; 2 déc. (16h-17h45) – Namur
C. Cossement [2 ECTS]

Le développement des techniques médicales a pu faire penser que la science guérirait l’homme de la souffrance et de la fragilité. Pourtant, lorsque celles-ci se montrent irréductibles, des attitudes de prise de pouvoir sur la vie elle-même se font jour. Avec l’avortement, l’euthanasie, la fécondation in vitro et toutes ses possibilités, ou encore l’expérimentation sur les embryons humains, la médecine a dû entendre au XXe siècle des demandes qui ne lui avaient encore jamais été adressées. Celles-ci ne touchaient plus directement à l’art de guérir mais demandaient que l’on agisse envers la vie elle-même. Quel éclairage la foi chrétienne vient-elle porter sur ces attentes et sur la dignité de l’homme ? Ce cours abordera les questions brûlantes qui sont posées à toute la société au travers de la bioéthique. En effet, ces sujets ne sont pas tant des dilemmes moraux personnels que des défis pour l’avenir de la civilisation.

Morale familiale et sexuelle
Les mercredis des semestres 1 & 2, à partir du 6 nov. (8h40-10h25) – Namur
R. Lugarezi assisté de C. Cossement et d’E. De Ruyver [4.5 ECTS]

Le pape François a voulu une Église qui, à la fois, ne renonce pas « à proposer l’idéal complet du mariage, le projet de Dieu dans toute sa grandeur », et qui est « attentive au bien que l’Esprit répand au milieu de la fragilité » (Amoris lætitia 308). Dans cet état d’esprit, le cours se propose de présenter l’enseignement moral de l’Église sur le mariage et la famille à la lumière de l’Écriture Sainte, de la Tradition et de l’éclairage offert par la « théologie du corps » développée par Jean-Paul II et qui présente une anthropologie à même de renouveler nos approches. À partir du sens personnaliste de la sexualité reconnue comme un don de Dieu, nous entreprendrons de décrypter quelques situations concrètes à la lumière de la vocation de l’homme à l’amour, en intégrant les notions de loi de gradualité et de pédagogie divine. Le cours cherchera à élaborer une proposition éthique audible par tous, qui ne suppose pas ou n’impose pas la foi, même s’il nous faudra dire ce qui caractérise plus spécifiquement l’apport propre du christianisme en matière de famille et de sexualité.

Histoire de l’Église dans la vie des hommes
Les samedis 16 nov. ; 21 déc. (9h30-11h30 ; 14h-16h) – Ave-et-Auffe
L.-F. Karuhije [2 ECTS]

Ce panorama de l’histoire de l’Église a pour objectif principal d’aider les étudiants à saisir la complexité de ce vaste sujet. En premier lieu, un temps sera consacré aux questions méthodologiques afin de situer l’histoire de l’Église parmi les multiples branches des sciences historiques. Ensuite, les étudiants recevront une liste de références pour les aider à faire des recherches personnelles. Enfin, un panorama de l’histoire de l’Église leur permettra de repérer les phases principales de cette longue histoire.

Histoire de l’Église en nos contrées
Les mercredis du semestre 2 (16h-17h45) – Namur
A. Vinel [3 ECTS]

Les défis pour l’Église n’ont pas manqué en Belgique depuis l’occupation romaine de la Gaule, point de départ de notre parcours ! Les modèles d’évangélisation et de ré-évangélisation ont bien varié en vingt siècles. Des périodes de ferveur spirituelle et de solidarité matérielle ont alterné avec des prises de pouvoir et des replis institutionnels. Le christianisme a néanmoins profondément marqué l’artisanat, l’architecture, le droit, la politique du pays. Clercs et laïcs ont même fait rayonner l’Évangile bien au-delà des frontières, depuis la création des béguinages jusqu’au concile Vatican II, en passant par des projets missionnaires novateurs. La connaissance de notre passé chrétien est un précieux atout à intégrer dans le nouvel élan évangélisateur belge d’aujourd’hui. Elle offre également des clefs pour saisir quelques grands débats actuels tels que le maintien des cours de religion, le financement des cultes, la neutralité et la laïcité « à la belge »…

Consultez notre guide pour découvrir d’autres cours,
dont certains sont obligatoires pour le CDER et le CeTP

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Découverte des religions non-chrétiennes
Les mercredis 2,9,16 oct. ; 6,13 nov. (14h-17h) – Bastogne
P. Moline [2 ECTS] CDER 1200

À l’heure de la mondialisation, dans une société plurielle, ce cours offre les clés indispensables pour comprendre les religions non chrétiennes et pour entrer, avec rigueur et bienveillance, dans un dialogue interreligieux. Nous découvrirons tout d’abord l’hindouisme, puis le bouddhisme. L’Occident n’est-il pas fasciné par l’Orient ? Via les routes de la Soie, nous trouverons le confucianisme et le taoïsme, en Chine, et, au-delà, au Japon, le shintoïsme. Nous visiterons ensuite les religions dites abrahamiques, judaïsme et islam. Nous ferons aussi des parallèles avec le christianisme : ressemblances et dissemblances nous permettront de mieux saisir l’originalité de notre propre foi.

Mystère de Dieu et Art
Les mercredis 9,16,23,30 avril ; 7,14,21,28 mai (14h-17h) – Bastogne
P. Verbeeren [3 ECTS] CDER 1200

Si le christianisme est bien une religion de l’Incarnation du divin, sa production artistique doit immanquablement nous ouvrir des portes sur ce qu’il met derrière le mot « Dieu », sur les grandes intuitions des spirituels, des artistes, des théologiens, des pasteurs concernant l’inouï du Dieu de Jésus et la relation dans laquelle il nous invite à entrer. À partir de la Révélation chrétienne, des pratiques liturgiques, de l’étude des controverses christologiques et trinitaires et de leurs échos dans l’histoire des représentations du divin, le cours proposera un parcours théologique imagé et coloré traduisant ce déploiement de l’amour divin au sein de notre actualité. Comme les Psaumes qui envisagent tant l’absence de Dieu que son omniprésence, l’art n’est pas en reste de nous provoquer à traverser avec vigueur notre rapport au sens. (Évaluation : 4 ou 11 juin après-midi, au choix)

Christologie
1,22 fév. ; 8,15,29 mars ; 5 avril ; 10,24 mai (09h30-11h30) – Ave-et-Auffe
 P. Goffinet [2 ECTS] CDER 1200

Spontanément, les chrétiens parlent de Jésus-Christ, en mettant un trait d’union entre les deux termes. Ce qui est déjà une profession de foi et tout l’enjeu de ce qu’on appelle la christologie. La question qui servira de fil rouge à ce cours est celle-là même que Jésus a posée un jour à ses disciples : Pour vous, qui suis-je ? Ou comment penser le lien entre Jésus de Nazareth (niveau de l’histoire) et Christ (niveau de la foi)? Pour répondre à cette question, il nous faut d’abord rassembler tout ce que l’on peut savoir sur Jésus du point de vue historique et découvrir ensuite, dans les lettres de Paul, les Évangiles et les Actes des Apôtres, les premières ébauches d’une christologie. Si, à l’origine, le christianisme s’est inscrit dans le monde juif, il s’inculturera très rapidement dans le monde gréco-romain au point de devenir en 380, religion d’Empire. Des conflits théologiques vont apparaître, qui touchent le cœur de la foi chrétienne et notamment la manière de comprendre le salut, le Dieu trinitaire et les deux natures du Christ (et leur union). Nous examinerons cette période en étudiant plus particulièrement les premiers conciles : Nicée (325), Constantinople (381), Ephèse (431) et Chalcédoine (451). Nous découvrirons alors que les dogmes ont une histoire inachevée. (Évaluation : 31/05)

Pour quoi l’Église ?
Samedis 22 fév. ; 15,29 mars ; 5 avril ; 10,24 mai (9h30-12h30) – Namur
É. Di Pietro [2 ECTS] CDER 1200

Ce parcours voudrait introduire au mystère de l’Église : à quoi sert l’Église ? Croire en Jésus, n’est-ce pas suffisant ? Et au fond, l’Église, c’est qui ? Partant des Écritures et du concile Vatican II, nous voudrions (re)découvrir la richesse de notre Église dans toutes ses dimensions : l’Église comme mystère, le peuple de Dieu, le Corps du Christ, le Temple de l’Esprit, le sacrement de salut, l’Église servante et pauvre, l’Église-Mère, l’Église dans le monde, la sainte Église des pécheurs, l’Église diocésaine, la vocation baptismale et les vocations particulières, l’autorité dans l’Église et la liberté dans le Christ. (Évaluation : 07/06 matin).